Charte de déontologie Voyance

Afin de moraliser la Profession des arts Divinatoires, éviter les dérives multiples qui découlent de ces pratiques où n’importe qui peut devenir du jour au lendemain médium, voyant, astrologue, mage, sorcier…, l’Institut National des Arts Divinatoires (INAD), qui est une association d’information, de prévention et de protection contre les Abus et les Excès de la profession, propose, à l’intention des praticiens désirant instaurer des rapports satisfaisants avec les consultants et dans l’intérêt de tous, cette Charte Morale et Professionnelle. Aussi, pour éviter que des consultants ne soient abusés par certains professionnels douteux et par les multiples publicités à caractère mensonger, cette Charte, appliquée et respectée par tous, serait en mesure d’offrir une garantie contre les débordements abusifs qui discréditent l’ensemble de la profession. Tout Praticien ayant souscrit de plein gré à l’acceptation de la présente Charte Morale et Professionnelle s’engage sur l’honneur à en respecter les dispositions et à exercer son activité avec sérieux, honnêteté et loyauté afin de satisfaire au mieux les consultants qui feront appel à ses services.

Mineurs

Je m’engage à ne pas recevoir un mineur en consultation, même avec autorisation écrite du titulaire de l'autorité parentale.

Rapport avec les autres professionnels

Je m'interdis de donner des informations ou de commenter les méthodes des autres professionnels de la voyance. Je m'abstiens de dénigrer un confrère ou de ternir son image pour mieux attirer son client.

Dans certains cas particuliers, et dans un but de conseil, je peux être amenée à orienter mes consultants vers des professionnels autres que ceux liés aux arts divinatoires (avocats, professionnels de la santé). Je réserverai ces conseils dans les cas pour lesquels la consultation de professionnels des Arts Divinatoires ne m’apparait pas comme étant la plus utile pour répondre à la question de mon consultant ou pour défendre au mieux ses intérêts.

Conformément au code de la santé publique, articles L4161-1 à L4161-6, définissant le délit d’exercice illégal de la médecine, je ne poserai ni ne commenterai aucun diagnostic ni traitement médical suivi par l’un de mes consultants, même sur demande expresse de sa part